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La panique qui a saisi les politiciens canadiens pendant plusieurs semaines, à la suite de la menace de Donald Trump d’imposer des tarifs de 25 % sur les marchandises canadiennes qui traversent la frontière américaine, était intéressante. Les analyses et critiques incessantes des médias grand public à ce sujet étaient prévisibles. L’anxiété des Canadiens ordinaires était calculée. La tension dans l’air était palpable.

Alors que l’Église et l’État continuent de se battre pour conquérir le cœur et l’esprit des Canadiens, nous constatons que notre subsistance spirituelle nous est arrachée par notre gouvernement insatiable. Alors qu’il s’empare de plus en plus de notre moi spirituel, il exige que les Canadiens se soumettent au droit du gouvernement de gouverner tous les aspects de notre vie.

Le titre de cet article fait référence à la tentative du gouvernement libéral en 2024 de prendre plus d’argent aux gens qui ont réussi et de le déverser dans le gouffre apparemment sans fond des dépenses inutiles. ... Le gouvernement libéral a décidé d’augmenter les taux d’imposition sur les gains en capital.

Les électeurs canadiens doivent reconnaître que les partis politiques qui se concentrent uniquement sur les questions économiques sont, quel que soit leur nom, fondamentalement marxistes. L’essence même du marxisme est la croyance que l’humanité est un animal économique et que la solution à tous nos problèmes est uniquement économique.

Au Canada, au début de 2025, nous assistons à un drame qui se déroule avec la « démission » de notre Premier Ministre, un processus qui semble lui prendre au moins deux mois et demi. Et il a pris la mesure inhabituelle de proroger le Parlement ; il est vraiment « fermé pour la saison » et devrait rouvrir le 24 mars…

J’avais quatre ans lorsque Pierre Trudeau a été élu pour diriger cette nation, je ne l’aimais pas beaucoup à l’époque, et mon opinion sur l’homme n’a pas beaucoup changé au fil des ans.

Dans les échanges saisonniers autour de Noël et à la fin de l’année, nous nous souhaitons mutuellement une « Bonne Année ! »

Alors que les gens vaquent à leurs occupations, « courant dans tous les sens, » et que les politiciens continuent de sonder et de s’immiscer dans les affaires des autres, nous arrivons à cette période intéressante et merveilleuse où de nombreuses personnes – y compris des non-croyants autoproclamés – sont prêtes à embrasser, pendant un court instant, l’histoire de Noël du Fils de Dieu qui est resté couché pendant un court instant dans une crèche… tout à fait humain et tout à fait divin.

Ce sont des jours très importants pour les croyants. Nous pouvons observer des tendances internationales en faveur de la foi scripturale, mais il existe également des courants contraires qui vont à l’encontre de la foi. Il est important de savoir discerner les différences et d’être prêt à prendre position pour la vérité éternelle et contre ses adversaires.

Quel beau cadeau de Noël nous ont offert 35 municipalités du Canada. La joyeuse célébration chrétienne de l’incarnation de Dieu en décembre a été reconnue comme le « Mois du patrimoine chrétien. »

Compte tenu des terribles dégâts causés par notre Premier Ministre actuel, son cabinet et son caucus au cours des dernières années, il pourrait être réconfortant de savoir qu’eux-mêmes – ainsi que leurs collègues de gauche des partis d’opposition – ont été figés dans le temps et incapables de « poursuivre les travaux du Parlement » depuis quelques semaines.

L’année dernière, nous avons demandé à nos membres et à d’autres citoyens concernés de se joindre à nous dans notre contestation judiciaire contre la ville de Hamilton. Nous sommes reconnaissants à tous ceux qui l’ont fait. Beaucoup d’entre vous ont partagé notre indignation à l’idée qu’une affiche anodine montrant une femme souriante et les mots « Femme : une femelle adulte » soit rejetée par la ville et interdite sur ses abribus. Mais c’est ce qui s’est passé.