Pensez-y ! Pensez-y longtemps en arrière ! Les années COVID semblent bien loin maintenant, n’est-ce pas?

Jeudi dernier, Tamara Lich, l’une des planificatrices du convoi de la liberté en 2022, a annoncé que la condamnation des accusations sous lesquelles elle vit depuis 2022 a été reportée sine die.

Pour la plupart, les Canadiens ont évolué. Nous nous inquiétons du coût des aliments, du prix du carburant, de la menace des tarifs douaniers et des contre-tarifs. Certains de nos concitoyens débattent des avantages et des inconvénients de devenir le « 51e État. » Nous nous inquiétons de la dette nationale, des politiques fédérales d’immigration et de la pénurie de médecins. Nous avons beaucoup de questions d’actualité qui nous préoccupent.

Une fois de plus, les entraves du passé nous ramènent à ces années de COVID.

Je me souviens d’être resté collé à mon ordinateur pendant que la police commençait à chasser d’Ottawa des manifestants légitimes et pacifiques canadiens. J’avais envoyé un petit don au convoi de la liberté et je me souviens de l’horreur que j’ai ressentie lorsque la nouvelle a été annoncée que le gouvernement allait geler les comptes bancaires de ceux qui soutenaient le convoi. Le gouvernement a effectivement gelé les comptes de certains des 36 000 Canadiens qui ont fait des dons au convoi de la liberté, mais pas de tous. Nous étions enfermés et poursuivis si nous découvrions notre visage ou sortions sans raison valable. Pourrions-nous jamais oublier ces jeunes qui patinaient à Calgary et leur confrontation avec la police?

Avec la décision selon laquelle les mesures d’urgence, mises en œuvre par le Premier Ministre Justin Trudeau, lorsque nous en avions assez de la tyrannie de notre gouvernement, étaient inconstitutionnelles et violaient notre Charte des droits et libertés, la plupart d’entre nous ont répondu avec frustration : « Tu penses ? » et ont continué à vivre.

La plupart d’entre nous ont continué à vivre. Tamara Lich n’a pas continué à vivre, elle est enchaînée au passé, tout comme Chris Barber, Pat King et Harold Jonker (audiences préliminaires du 25 au 28 mars) et probablement bien d’autres. Je ne parviens pas à trouver une liste de tous ceux qui font encore l’objet d’accusations en suspens. Je suis sûr qu’il doit y en avoir une, mais de nombreuses accusations ont été annulées parce que les poursuites ont pris trop de temps. L’un de nos droits garantis par la Charte est que nous avons droit à un procès rapide.

Mais pour ceux qui se battent contre les accusations qui découlent d’une période d’excès de pouvoir du gouvernement, la bataille est réelle. Ils sont enchaînés au passé et incapables d’aller de l’avant.

Pourquoi est-ce que je soulève ce sujet?

C’était une époque sans précédent où les Canadiens étaient privés de leurs droits et où nous protestions contre le non-respect de leurs droits fondamentaux. Le gouvernement est intervenu avec une force excessive, ce qui a constitué une nouvelle violation de nos droits. Notre gouvernement libéral n’a pas encore été accusé de telles choses lors d’une élection canadienne.

Le convoi de la liberté a donné aux Canadiens leur premier rayon d’espoir vers un retour à la normale et nous l’avons saisi. Partout dans le monde, des gens se sont emparés de l’espoir que le Canada leur offrait. Le Canada est devenu un chef de file mondial grâce à ce que les Canadiens ont fait : ils se sont levés et ont dit : « NON, nous en avons fini avec ces contrôles gouvernementaux. »

Merci aux organisateurs et aux participants du convoi de la liberté pour l’espoir qu’ils nous ont donné, ainsi qu’au monde, en 2022. Il est désormais temps de dire une fois de plus au gouvernement « ça suffit. » Il est temps pour nous de mettre en pratique notre refus de jeter sous le bus ceux qui nous ont donné de l’espoir.

Envoyons ces lettres, ces appels téléphoniques et ces courriels à votre député, à notre ministre de la Justice, à notre Premier Ministre, pour leur dire qu’il est temps de mettre fin à ce moment honteux de l’histoire canadienne où nous avons tous vécu sous une dictature.

Mais ce n’est pas suffisant ! Même si ce serait formidable si nous faisions tous cela.

Pour la première fois depuis la COVID, le Parti libéral et son attitude nonchalante envers nos droits seront confrontés à l’électorat. C’est difficile à croire, mais ce sont les premières élections depuis le convoi de la liberté. C’EST le moment de dire à tous ceux qui cherchent à gouverner qu’il y a un prix à payer pour la violation de nos droits garantis par la Charte; un prix à payer pour la violation de nos libertés. Il y a un prix à payer lorsque vous violez les libertés que les Canadiens chérissent. Nous ne reculerons pas parce que vous avez violé ce qui nous est TRÈS cher.

Il est temps de démettre de leurs fonctions le Parti Libéral et ses collègues du NPD qui ont violé nos lois, nos droits et nos libertés. Il est temps de reconnaître que les dirigeants du Parti Conservateur les ont soutenus dans leurs mesures restrictives jusqu’à ce que le convoi de la liberté leur montre à quel point les Canadiens sont attachés à la liberté.

Il est temps pour les Canadiens de choisir un parti qui défend sans équivoque la vie, la famille et la liberté : PHC Canada. Adhérez dès aujourd’hui!