“Quand les méchants règnent, les gens pleurent.” proverbes 29:2

La liste croissante des actions abusives et oppressives de notre gouvernement fédéral sous le Premier Ministre Justin Trudeau est si choquante et troublante qu'il est difficile de savoir quel projet de loi ou quelle décision du Cabinet aborder ensuite. Et le gouvernement fédéral n'est pas seul dans son exercice insensé du pouvoir. Les gouvernements provinciaux, comme le gouvernement néo-démocrate du Premier Ministre John Horgan en Colombie-Britannique, semblent se disputer le prix du « programme de réglementation le plus insensé et le plus nuisible. »

Au cours de la semaine dernière, les libéraux fédéraux - avec leur suite obséquieuse de députés néo-démocrates, bloquistes et verts - ont décidé d'ignorer la science (encore une fois) et de continuer à discriminer injustement les Canadiens qui ne se sont pas soumis aux dangereuses et inefficaces vaccinations COVID-19. Malgré les montagnes de preuves que les soi-disant vaccins n'empêchent ni l'infection ni la transmission et le fait que la plupart des autres pays libres ont maintenant abandonné les mandats de vaccination, notre Premier Ministre insiste pour que nous punissions les non vaccinés en les empêchant de voyager en avion ou en train dans le Canada.

M. Trudeau a également annoncé son intention d'interdire efficacement les armes de poing légales au Canada en interdisant leur acquisition, leur transfert ou leur vente. Vraisemblablement, c'est en réponse à l'horrible fusillade dans une école à Uvalde, au Texas. Sa démagogie opportuniste sur la violence armée était prévisible. Simultanément, son homologue de la Colombie-Britannique, le Premier Ministre John Horgan, a annoncé qu'il décriminaliserait la possession de ce que l'on appelait jusqu'ici des « drogues dures » : la cocaïne, la méthamphétamine et l'héroïne. La juxtaposition de ces actions et déclarations devrait amener des citoyens intelligents et consciencieux à remettre en question la logique et les motivations des deux Premiers Ministres.

Les armes à feu existent depuis longtemps. Les fusillades dans les écoles étaient rares jusqu'à ces dernières décennies, lorsque l'instabilité mentale, les foyers sans père, la consommation généralisée de drogues, les relations sexuelles occasionnelles et les "divertissements" extrêmement violents (vidéos et jeux vidéo) sont devenus monnaie courante. Quand j'étais enfant, les adolescents chasseurs de cerfs arrivaient au lycée avec quelques fusils dans un rack derrière le siège du conducteur de leurs camionnettes. Ce n'était pas une cause d'inquiétude à l'époque parce que ces jeunes hommes n'exprimaient pas de comportement antisocial; ils avaient juste l'intention d'aller chasser après l'école.

Le passage à la dépénalisation des drogues dures en Colombie-Britannique a été autorisé par le gouvernement fédéral en tant qu'exemption de 3 ans des lois fédérales actuelles sur les drogues. Ils le vantent comme une "expérience" qui, espère-t-il, conduira à une baisse de la consommation de drogue, à moins de décès et à une meilleure socialisation à l'avenir. Ils rêvent. La punition et les conséquences sociales pour les comportements malsains est un moyen de dissuasion, peu importe ce que les penseurs pieux peuvent prétendre. Accepter le vice et normaliser ces comportements est le moyen le plus sûr d'augmenter la propagation de la dépendance et des modes de vie non productifs. La Colombie-Britannique était un chef de file, il y a des années, dans la création et l'exploitation de « sites d'injection sécuritaires ». Comment ça marche pour vous ? Jetez un coup d'œil au centre-ville.

Montrant son soutien à « l’approche douce sur les drogues », le maire de gauche de Vancouver, Kennedy Stewart, affirme qu'il pleure le lundi matin lorsqu'il reçoit les rapports de tous les décès de fentanyl et d'autres opioïdes au cours du week-end. Est-ce qu'il pense – et Le Premier Ministre de la Colombie-Britannique et le Cabinet - que permettre la possession de « petites quantités » de drogues hautement addictives et dangereuses ne conduira pas à de « grandes quantités » des mêmes drogues par les revendeurs et les utilisateurs ? D'où viendront les « petites quantités, » sinon de la pègre?

De par sa nature, la dépendance exige toujours plus ; les toxicomanes ne sont pas connus pour leur retenue. Les médicaments coûtent cher. La plupart des utilisateurs ne sont pas ce que nous appellerions des contribuables qui travaillent dur à temps plein. Où trouveront-ils l'argent de la drogue si ce n'est par le vol, la prostitution, le trafic d'armes ou d'autres occupations peu recommandables ? L'une des causes de l'augmentation de la consommation de drogues dures et des décès liés au fentanyl a été la légalisation de la drogue d'introduction appelée marijuana, aujourd'hui principalement appelée cannabis. Lorsque les jeunes sont encouragés à expérimenter, que ce soit dans les modes de vie sexuels ou dans l'ingestion de drogues psychotropes, cela ne devrait pas nous surprendre que certains d'entre eux deviennent dépendants des comportements ainsi que des drogues. Un toxicomane recherche l'expérience même si les risques sont connus. Les sanctions légales suffisent à empêcher certaines personnes d'expérimenter et de devenir toxicomanes.

Outre le rôle connu de la marijuana en tant que drogue d'introduction, il existe des indications crédibles selon lesquelles elle peut créer et crée effectivement des problèmes de santé mentale chez les gros consommateurs. Dans son livre de 2019, « Tell Your Children: The Truth about Marijuana, Mental Illness and Violence, » l'auteur Alex Berenson postule qu'une forte consommation de marijuana à des fins récréatives provoque des épisodes psychotiques. . . et la psychose peut conduire à des comportements extrêmement violents. Nous le savions en 2018 lorsque le gouvernement Trudeau l'a légalisé. Bien sûr, lui et son caucus n'étaient pas plus sur le point de laisser l'opinion publique et les preuves scientifiques se mettre en travers de son chemin en 2018, pas plus qu'il ne le fait aujourd'hui. Tant que son caucus et les crapauds du NPD lui permettront de servir ses groupes de défense préférés, les médias flatteurs et le public mal informé continueront d'accepter ses actes insensés comme inévitables et sans conséquence. Ils ne le sont non plus.

Comment des lois plus strictes sur les armes à feu et une nouvelle tolérance aux drogues dangereuses fonctionnent-elles ensemble ? Les tueries de masse, comme celle d'Uvalde, sont l'œuvre d'un esprit dérangé. Aucune personne saine d'esprit n'entreprendrait de tirer sur un groupe d'enfants. Alors que la nature humaine pécheresse de l'homme est la cause profonde de toute violence et de tout conflit, les foyers brisés, les psychotiques et un régime de vidéos fantaisistes violentes influencent grandement la probabilité d'effondrement moral. Lorsque le Premier ministre et les Premiers Ministres prétendent que prendre des armes des mains de citoyens responsables, tout en permettant à l'élément criminel de vendre des drogues légales et des armes de poing illégales à une génération apathique, sous-motivée, surstimulée et sans but, notre nation est en difficulté. Et lorsque le public peut être convaincu par un corps docile de médias subventionnés que les actions de tels gouvernements sont « pour notre propre bien », il est temps que les bonnes personnes partout s'expriment ou se taisent à jamais. Le PHC soutient à la fois la possession responsable d'armes à feu et les efforts efficaces et persistants pour réduire la consommation de drogues nocives et addictives. L'application cohérente des lois sur la drogue et un retour à notre héritage moral biblique offrent beaucoup plus d'espoir aux désespérés et sans but que le drapeau blanc de la reddition.

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