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Des millions de primes pour la désinformation financée par l’État

August 20, 2024 | Auteure: Rod Taylor   |   Le volume: 31    Le numéro: 34   |   Share: Gab | Facebook | Twitter   

La CBC (Radio-Canada) continue de mordre les mains de ceux qui la nourrissent et de tirer injustement avantage de ses relations à distance en versant des contributions involontaires des contribuables à l’auge publique à laquelle elle se nourrit. Nous apprécions le travail effectué par la Fédération Canadienne des Contribuables (FCC), qui continue son bon travail de recherche d’informations que Catherine Tait, la présidente de Radio-Canada, tente de cacher aux contribuables assiégés. Il est étrange qu’une société qui prétend être une source d’information fasse de son mieux pour cacher ces mauvaises nouvelles au public.

Il s’avère que 1 450 employés de Radio-Canada ont touché un salaire annuel supérieur à 100 000 $ chacun l’an dernier; leur salaire moyen était de 125 000 $. De plus, 45 cadres de Radio-Canada ont reçu des primes d’une moyenne de 73 000 $... un total de 3,3 millions de dollars. Le total des primes versées à tous les employés et cadres de Radio-Canada s’élevait à 18,4 millions de dollars.

La justification des primes ? Introuvables. L’audience et le nombre de téléspectateurs continuent de diminuer. Et ils ont été payés alors que la plupart des Canadiens ont du mal à payer leurs factures.

Le chiffre le plus surprenant est bien sûr celui du salaire et des primes versés à la présidente de Radio-Canada, Catherine Tait. Son salaire annuel, ses primes et ses avantages sociaux se situent entre 472 900 $ et 623 900 $. En gros, un demi-million de dollars. Pour quoi? Tout d’abord, la fourchette elle-même est troublante. Pourquoi n’y a-t-il pas un seul montant en dollars au lieu d’une fourchette de 151 000 $? Ces personnes ne signent-elles pas de contrats contraignants? Deuxièmement, pourquoi diable verserions-nous un montant aussi obscène à un dirigeant de Radio-Canada? Troisièmement, depuis quand les primes sont-elles considérées comme une partie prévisible et attendue du salaire annuel? Je pensais qu’une prime était une récompense rare et inattendue pour un rendement exceptionnel, et non un élément courant de votre rémunération.

Et ce n’est pas comme si Radio-Canada jouait un rôle précieux en aidant à guider les Canadiens vers des normes morales plus élevées. Pendant des décennies, ses reportages et articles d’opinion (souvent impossibles à distinguer pour l’auditeur sans méfiance) ont eu tendance à promouvoir l’avortement, la confusion des genres et l’alarmisme climatique. Pendant les confinements liés à la COVID, les obligations de vaccination, les convois de camionneurs et les questions connexes, Radio-Canada a répété et amplifié les points de discussion du gouvernement. Ses commentaires étaient remplis de remarques désobligeantes sur ceux qui résistaient au discours « sûr et efficace. » Pour les contribuables canadiens, qui ont réussi à trouver la vérité sur bon nombre de ces questions, c’est encore plus insultant de devoir payer de notre poche 1,4 milliard de dollars chaque année pour faire de la propagande auprès de nos concitoyens avec de la désinformation, des préjugés et des insinuations qui se traduiront par de mauvais choix aux urnes et par des politiques et des lois de moindre qualité émanant du Parlement et du Cabinet du Premier Ministre.

Je crois que la plupart des Canadiens, s’ils savaient combien Radio-Canada gaspille en salaires et en primes pour ses dirigeants… et à quel point les nouvelles ont été déformées pour promouvoir des politiques anti-vie, anti-famille et anti-liberté, exigeraient que les contribuables cessent de financer cette colossale machine de propagande. Vous pouvez signer la pétition de la FCC pour mettre fin au financement de Radio-Canada par les contribuables ici.

Le Parti de l’Héritage Chrétien (PHC Canada) réclame depuis longtemps le retrait du financement de Radio-Canada et la fin des plans de sauvetage des médias. En plus du gaspillage effroyable de l’argent des contribuables, nous nous opposons à la propagande gouvernementale imposée aux générations futures d’électeurs et de contribuables qui sont délibérément trompés et désinformés par des militants des médias surpayés et partiaux. La réduction du financement des médias serait l’une des clés pour atteindre notre objectif d’équilibrer les budgets et pourrait, comme effet secondaire bénéfique, conduire à des normes journalistiques plus élevées… plus besoin de faire passer des articles d’opinion minables pour des reportages d’actualité. Visitez chp.ca/fr/ pour en savoir plus.



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