J’avais quatre ans lorsque Pierre Trudeau a été élu pour diriger cette nation, je ne l’aimais pas beaucoup à l’époque, et mon opinion sur l’homme n’a pas beaucoup changé au fil des ans.

Comme le rapporte un épisode de W5 qui date de plusieurs décennies, selon une femme avec qui Pierre a étudié à l’université, le jeune débutant était alors membre en règle du Parti Communiste du Canada. Cela expliquerait pourquoi le Parti Communiste Chinois l’a envoyé en Chine à l’époque et lui a offert un voyage de 64 $. Ils ne savaient pas que leur invité allait un jour diriger cette nation, même si ce serait dans la mauvaise direction.

La tournée n’a apparemment pas ébranlé ses convictions et, selon un rapport interne de la GRC de 1968, relayé par un officier à la retraite qui se présentait à des élections politiques dans le centre de l’Alberta dans les années 1980, l’arriviste, alors âgé de trente ans, a dirigé une délégation de communistes au Forum Économique de Moscou en 1952. La GRC savait donc cela l’année où l’homme est devenu Premier Ministre et l’a gardé secret, ce qui pourrait bien s’avérer être le plus grave de leurs péchés.

Lorsque le Premier Ministre Trudeau a été interrogé plus tard sur ses réflexions sur le communisme, il a répondu que « dans certaines circonstances, ‘un État à parti unique’ serait idéal. » Cette expression n’est bien sûr qu’un euphémisme pour le communisme, et personne d’autre qu’un communiste ne le recommanderait à un pays, quelles que soient les circonstances.

« D’accord, c’était un communiste, » entends-je quelqu’un dire, « mais il nous a donné la Charte, n’est-ce pas ? » Eh bien, oui, mais il n’y a créé aucun droit que nous n’avions pas déjà, et en les énumérant, il les a en fait limités. Et pour couronner le tout, dans le même document, il a donné aux futurs gouvernements la formule par laquelle ils pourraient suspendre complètement ces droits limités.

Soyons réalistes : si vous ne pouvez pas quitter votre domicile parce qu’un micro rôde, ou si vous publiez des opinions contraires à l’air du temps parce qu’elles pourraient blesser quelqu’un, ni la liberté de mouvement ni la liberté d’expression (ni aucune des autres qui y sont énumérées) ne valent le papier sur lequel elles sont écrites. On pourrait presque penser que ce texte a été écrit par un communiste ou quelque chose comme ça ! Mais Papa Trudeau a-t-il jamais dépassé cette philosophie?

En fait, selon un officier de renseignement à la retraite que je connais, PET a conservé sa carte communiste de 5 $ par an depuis sa jeunesse jusqu’au jour de sa mort, sans interruption. (Réfléchissez un instant à cela !)

Les divergences d’opinions ne doivent pas nous éloigner. L’une des grandes caractéristiques de nos démocraties occidentales est que deux personnes peuvent être en désaccord et rester amies. Mon père, par exemple, n’a jamais voté pour autre chose que le NPD et a un jour suggéré que le communisme n’avait jamais eu sa place – cette déclaration étant le signe révélateur d’un sympathisant. Pour ma part, je suis convaincu que le libéralisme (dont le socialisme est le cousin germain) est le fléau de la civilisation occidentale. Et ces opinions contradictoires n’ont en rien altéré notre relation ! En fait, comme mes frères et sœurs aiment me le rappeler, j’étais son préféré et, comme j’aime leur dire, ce n’est pas de ma faute s’il avait bon goût – même si ses opinions politiques étaient un peu bancales.

Mais des opinions divergentes mènent à des politiques différentes… et les politiques ont des conséquences. Lorsque les communistes cherchent à déstabiliser un pays, ils l’infiltrent, sapent son tissu social, infiltrent son système éducatif, taxent ses citoyens autant qu’ils le peuvent, donnent autant qu’ils le peuvent et font grimper le coût de la vie autant qu’ils le peuvent pour que tout le monde ait faim autant qu’il le peut. Cela ressemble un peu à ce qui est arrivé au Canada, n’est-ce pas?

Pourquoi les sympathisants communistes voudraient-ils détruire l’économie ? Parce que, selon les mots du président à la retraite Herbert Hoover adressés au président en exercice Harry S. Truman en 1947 à propos d’une Europe alors ravagée par la guerre, « la simple subsistance signifiait la faim (les Européens parvenaient à peine à survivre à cette époque, corps et âme) et la faim signifiait le communisme » (Sauver la liberté : Truman, la guerre froide et la lutte pour la civilisation occidentale, Joe Scarborough, p. XVII).

Les affamés, semble-t-il, voteront pour quiconque leur promet de l’aide, et je maintiens que ce gouvernement veut que nous ayons tellement faim que nous voterons pour cet « État à parti unique » pour lequel Pierre Trudeau disait que nous n’étions pas prêts à l’époque ; son fils, tout aussi malavisé, fait de son mieux pour nous entraîner directement dans le goulag. Nous ne pouvons pas laisser cela se produire.

Comme je le dis dans mon livre, FIX CANADA, nous avons besoin d’un Churchill pour intervenir et contrecarrer leur programme mondialiste. Si Dieu le veut, nous – et le reste du monde – pourrions connaître un soulagement significatif de ce programme lorsque les États-Unis accueilleront leur 47e président le 20 janvier. Mais cela ne nie pas notre besoin d’un gouvernement considérablement meilleur ici au Canada. Nous – au sein du PHC – sommes les seuls à proposer une alternative biblique solide, une alternative qui appuie la « suprématie de Dieu et la primauté du droit » de la Charte. Si vous n’avez pas encore souscrit à une adhésion au PHC, il n’y a pas de meilleur moment que maintenant pour faire ce qui est juste.

Note du leader : Jeff Willerton est l’auteur du livre captivant (et très complet) ‘Fix Canada,’ qui en est maintenant à sa 22e édition. C’est une lecture intéressante, qui contient de nombreuses observations intéressantes sur la politique canadienne. Jeff a également été candidat du PHC et prévoit l’être à nouveau. Nous le remercions pour tous ses efforts visant à « réparer le Canada. »

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