Il existe de nombreuses questions de politique publique au Canada qui DOIVENT être traitées de toute urgence. Trois forment la stratégie de campagne permanente du PHC : Vie, Famille et Liberté.

Le caractère sacré de la vie humaine est au cœur de la politique du PHC depuis la création du Parti. La vie - aux deux extrémités du spectre des âges - restera un problème primordial jusqu’à ce que la nation revienne à une reconnaissance de la valeur des porteurs de l’image de Dieu.

Au cœur de la question de la liberté (droit) se trouvent des droits jumeaux : la liberté d’expression et le droit aux fruits de son travail : le droit de posséder et de jouir de la propriété.

Et comme toujours, nous nous engageons à travailler pour renforcer la famille biparentale normale et mariée. Cela signifie que nous DEVONS cesser d’enseigner aux enfants, qui sont l’avenir de notre nation, des mensonges qui prétendent qu’un comportement sexuel bizarre et irresponsable est égal ou supérieur à la formation normale d’une famille. Les adultes peuvent être autorisés à se comporter de manière irresponsable, mais ils n’ont pas le droit d’enseigner des mensonges à nos enfants.

Mais il y a d’autres problèmes devant nous qui exigent une action urgente. Je vais développer trois:

• La campagne des fascistes mondiaux pour effondrer le système économique qui a libéré plus de personnes de la pauvreté et du servage que tout autre.
• La déliquescence du système judiciaire par les partisans de l’élargissement des droits des criminels.
• Le déclin de la démocratie sous les partisans du socialisme, du fascisme et de l’oligarchie.

Les banques et les financiers internationaux ont depuis longtemps arraché le contrôle de la création monétaire aux représentants du peuple. Ce faisant, ils ont suborné les processus mêmes de la démocratie, transformant nos élections en un système de marketing corrompu qui nous donne « le meilleur gouvernement que l’argent puisse acheter; » et croyez-moi, les gouvernements occidentaux ont été transformés en une marchandise qui peut être et est achetée!

Nous devons travailler pour restaurer la démocratie ! Une première étape consisterait à limiter les mandats, à remplacer les politiciens de carrière par des fonctionnaires qui serviraient un mandat ou deux, puis rentreraient chez eux pour vivre sous la législation qu’ils avaient adoptée.

Mais nous devons également réformer «l’État profond» - le corps permanent des fonctionnaires qui restent en fonction après l’arrivée et le départ des politiciens élus. Il doit y avoir un examen automatique de ces nominations supérieures après chaque élection. La corruption et les mauvaises politiques ont tendance à s’enraciner.

De plus, nous devons absolument rendre le pouvoir de créer de l’argent et du crédit aux gouvernements, en tant que représentants du peuple qui produit des choses de valeur ; et nous devons retirer le pouvoir de créer de l’argent à partir de rien aux institutions financières qui créent de l’argent sous forme de dette, pour injecter des bonus exorbitants dans les poches des cambistes et des dirigeants de banque.

Au moins la moitié de l’argent neuf mis en circulation chaque année devrait être émis par la Banque du Canada sous forme de prêts sans intérêt aux provinces, aux municipalités, ainsi qu’aux autorités locales élues et aux conseils de bande des Premières Nations pour des projets d’infrastructure : routes, autoroutes, ponts, parcs, aéroports et ports maritimes, usines de traitement des eaux et des eaux usées, écoles, centres de loisirs, théâtres, musées et salles de concert, etc.

La construction de ces projets indispensables augmenterait considérablement les revenus de ces autorités locales - celles qui savent le mieux ce qui est nécessaire et sont responsables envers les populations locales - ce qui leur permettrait de rembourser les prêts sans intérêt ; l’argent pourrait alors être retiré par la Banque du Canada ou recyclé dans d’autres projets d’infrastructure, empêchant ainsi tout impact inflationniste, qui est normalement le résultat d’une trop grande course d’argent après une production limitée de biens.

Entre-temps, notre système de justice doit être restructuré pour reposer sur deux piliers : la sécurité publique et la restitution.

Cela n’a aucun sens que des criminels non violents languissent dans les prisons, tandis que leurs victimes subissent la perte de leurs déprédations ! Les criminels non violents devraient être mis au travail, gagner de l’argent pour indemniser leurs victimes. La restitution devrait être un objectif primordial du système pénal ; cela aurait un effet beaucoup plus salutaire que soit une punition, soit une vie oisive aux frais des contribuables!

Les criminels violents, en revanche, devraient être gardés en prison pour la sécurité publique et soumis à une thérapie psychiatrique pour tenter de les guérir des tendances sociopathiques. Et eux aussi devraient être obligés de travailler, pour compenser le coût de leurs soins et de leur entretien.

Voilà : six objectifs pour bâtir un Canada meilleur:

• Protéger la vie.
• Défendre la liberté (parole, conscience, droit à la propriété privée et foi)
• Renforcer les familles
• Renforcer la démocratie
• Mettre en œuvre la réforme monétaire
• Légiférer sur la réforme de la justice pénale

Votre PHC reste attaché à ces objectifs. Pour mettre ces politiques en vigueur, nous avons besoin de votre adhésion et de votre soutien. Contactez le PHC aujourd’hui; appelez sans frais au 1-888-VOTE PHC.