Nous avons récemment vu dans l’actualité des contestations entre les points de vue d’un Premier Ministre provincial, sous l’autorité duquel se trouve l’éducation, et notre Premier Ministre qui, comme un bel exemple d’orgueil, croit que son autorité l’emporte sur celle du Premier Ministre, même dans des domaines de compétence provinciale.

Je ne sais pas qui, dans la maison Trudeau, élève les enfants, mais je sais que les parents ont reçu - par Dieu - le pouvoir de s’occuper de leurs propres enfants et de superviser leur éducation et leur formation morale ; dans le passé, il était universellement admis que les parents prenaient la plupart des décisions pour leurs jeunes enfants et acceptaient la responsabilité des actes de leurs enfants. C’était aux parents de décider quand leurs enfants étaient prêts pour une indépendance accrue et à quoi cela devrait ressembler. Les parents ont été reconnus comme les principaux dispensateurs de soins et éducateurs de leurs propres enfants; les éducateurs publics ne se voient accorder - par les parents - qu’un rôle limité pour participer à la formation scolaire des enfants.

Alors que notre Premier Ministre s’incline devant le dieu de la sexualité, il offre des enfants canadiens comme fourrage à ceux qui n’ont ni amour ni souci pour l’enfant tout entier.

Pourquoi notre Premier Ministre considère-t-il les parents canadiens comme des personnes perverses cherchant la destruction de leurs propres enfants et bloquant de manière malveillante le droit de leurs propres enfants de se faire du mal?

Notre premier ministre a qualifié les parents canadiens inquiets d’« acteurs politiques d’extrême droite... essayant de se surpasser avec les types de cruauté et d’isolement qu’ils peuvent infliger à ces personnes déjà vulnérables. »

C’est ce qu’il dit des parents qui enseignent et élèvent leurs enfants avec amour. Les parents qui se passent de beaucoup de choses pour s’assurer que leurs enfants reçoivent ce dont ils ont besoin et ce qu’ils veulent.

Cependant, le Premier Ministre du Nouveau-Brunswick, qui détient une autorité constitutionnelle légitime en matière d’éducation, a choisi de reconnaître le droit des parents de savoir ce qui se passe dans la vie de leurs propres enfants. Les écoles du Nouveau-Brunswick ont eu les «ailes coupées.» Elles ne peuvent plus décider de manière autonome de faire la transition d’un enfant confus sur l’identité sexuelle tout en bloquant l’implication des parents.

Bravo, le Premier Ministre du Nouveau-Brunswick, Blaine Higgs! Un peu de bon sens s’est déchaîné dans un petit coin du Canada.

Selon un sondage réalisé par secondstreet.org, « les Canadiens sont majoritairement d’avis que les écoles devraient informer les parents si leur enfant veut changer de genre ou de pronoms ».

Armé de cette information, il faut se demander qui représente notre Premier Ministre en tentant d’outrepasser les parents canadiens. Il faut aussi s’interroger sur ceux qui ont marqué à plusieurs reprises un « X » par le candidat libéral sur leur bulletin de vote.

De nombreux parents canadiens ont retiré leurs enfants de l’école le 1er juin, le jour où les écoles célèbrent le sexe plutôt que l’éducation et lèvent un drapeau de «fierté» pour affirmer leur allégeance à la cause LGBTQ. La plus notable, « « Northwood Public School à Windsor, » en Ontario, a vu 600 de ses 800 élèves rester à la maison le 1er juin. C’est un incroyable taux de sortie de 75 %. »

N’est-ce pas là des Canadiens qui essaient d’attirer l’attention d’un gouvernement qui ne peut pas entendre? Lorsque le convoi de camionneurs a fait exploser leurs klaxons pour tenter de capter l’attention de notre gouvernement sourd, ils ont également échoué. Quelque chose sur la Colline du Parlement empêche ceux qui nous représentent de nous entendre.

Que devons-nous faire pour atteindre un gouvernement totalement déconnecté des Canadiens et totalement sourd à tout effort pour se faire entendre?

Il est temps d’oublier le vote par habitude. « J’ai toujours voté libéral, tout comme mes parents et mes grands-parents l’ont fait, » ne passe plus. Ce n’est pas ce pour quoi vos parents et grands-parents ont voté et il est temps que les Canadiens se réveillent et réalisent cela.

Ceux qui diraient: «Mais les libéraux m’ont permis d’immigrer au Canada» doivent se réveiller à l’esclavage dans lequel ils se trouvent en renonçant à leur liberté pour une loyauté mal conçue. Votre vote préserve ce pays ou le met sur la voie de la destruction. Ne vendez pas votre vote et ne laissez personne lier votre vote. La liberté, c’est le droit de croire autre chose que la saleté putride que le gouvernement actuel vomit.

Il est temps pour nous tous de reconquérir ce pays. Si notre gouvernement est déconnecté des Canadiens - et c’est le cas - alors il est temps d’abandonner ce gouvernement et de voter un parti politique qui représente les valeurs sur lesquelles ce pays a été bâti.

Aujourd’hui est le jour où vous devez aligner votre vote sur un parti qui est prêt à dire « non » pour le bien des Canadiens. « Non, vous ne pouvez pas inciter nos enfants à adopter des modes de vie sexuels malsains. » « Non, vous ne pouvez pas empêcher un parent de protéger son propre enfant. » « Non, les écoles ne peuvent pas outrepasser l’autorité parentale. »

Aujourd’hui est le jour pour commencer à explorer les options. Aujourd’hui est le jour pour voter le seul parti politique qui protège tous les Canadiens de la conception à la mort naturelle.

Joignez-vous au PHC du Canada. aujourd’hui EST le jour!